Fulbert ADJIMEHOSSOU FRATERNITE
400 milliards de dollars. C’est le montant que projettent
investir d’ici à 2030 les pays du Sahel
pour faire face aux effets du réchauffement climatique. Cette décision
a été validée à la 1ère Conférence des Chefs d’Etat et de
gouvernement de la région du Sahel qui s’est ouverte hier à Niamey. Le plan
s’inscrit dans la continuité des engagements pris à travers l’Accord de Paris
sur le réchauffement climatique. Il permettra de catalyser les investissements climatiques et
vise diverses actions sur le terrain pour limiter les émissions des gaz à effet
de serre et permettre aux populations des pays concernés de mieux s’adapter aux
changements climatiques. « Il
s’agit de la traduction des engagements de nos Etats à travers l’Accord de
Paris sur le réchauffement climatique», a déclaré Almoustapha Garba, ministre nigérien de l’Environnement. La
dégradation climatique dans la région Sahel est très préoccupante. La région
est extrêmement vulnérable aux changements climatiques, ce qui fragilise à la
fois les conditions de vie des populations et les écosystèmes. « La région du
Sahel est soumise à une très forte variabilité climatique. La situation du
Sahel montre combien le changement climatique a un impact sur la disponibilité
des ressources», a rappelé pour sa part le président Issoufou Mahamadou. Ces
pays comptent sur les partenaires financiers, mais aussi sur les pays développés.
Le Bénin est représenté à ces assises par le ministre Aurélien Agbénonci.
[…] 400 milliards de dollars. C’est le montant que projettent investir d’ici à 2030 les pays du Sahel pour faire face aux effets du réchauffement climatique. Cette décision a été validée à la 1ère Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de la région du Sahel qui s’est ouverte hier à Niamey https://zoomagro.com/index.php/2019/02/28/il-sagit-de-la-traduction-des-engagements-de-nos-etats-a-t… […]